Année 2008

45 cm x 30 cm

Année 2008

45 cm x 30 cm

Année 2008

45 cm x 30 cm

Année 2008

80 cm x 65 cm

Année 2008

80 cm x 65 cm

Année 2008

80 cm x 65 cm

Année 2008

80 cm x 65 cm

Année 2008

100 cm x 80 cm

Année 2008

45 cm x 30 cm

Année 2008

80 cm x 65 cm

Année 2008

65 cm x 80 cm

Année 2008

65 cm x 80 cm

Année 2008

65 cm x 80 cm

Année 2008

100 cm x 80 cm

Année 2008

100 cm x 80 cm

Année 2008

80 cm x 65 cm

Année 2008

65 cm x 80 cm

Année 2008

45 cm x 30 cm

Année 2008

45 cm x 30 cm

"Franchir mes images,
      c'est accepter de sauter dans le vide…"

Loup

Automne – Hiver [différents formats selon le jeu de composition]

Comment l’homme est-il guidé par ses pulsions,quel est son véritable caractère ?
Comment représenter nos peurs, nos rêves enfuis, nos cauchemars ?
Qui n’a jamais fait le rêve de se retrouver seul perdu dans la forêt,en plein milieu de la nuit ?
Ces rêves, ces cauchemars sont-ils la véritable traduction de nos peurs, nos inquiétudes ?
La peur de ne pas réussir, de ne pas trouver sa place... La peur de ne pas se dépasser en soi même...
L’enfant fait des cauchemars, la peur de se retrouver seul, abandonné...
Qu’est ce qu’il le fait grandir, doit-il dépasser ses frayeurs ?
L’homme dans mes images est suspendu dans le temps, perdu, un moment arrêté dans la nuit. Il se trouve la plupart du temps dans l’obscurité
ou éclairé par la lumière naturelle de notre monde industriel.
La lumière est toujours présente dans notre civilisation. Finalement les seuls moments où l’on se retrouve dans le noir, c’est la nuit lorsqu’on a les yeux fermés.
Le rêve, les images subconscientes ne dévoilent-elles pas parfois notre vraie nature ?
Dans ce monde de l’ombre, on montre notre vraie nature. Ce moment de vide, d’inactivité n’est-il pas justement un moment essentiel ? Lors de ce temps perdu, l’homme, n’est-il pas justement en train de construire son futur, sa position d’homme fort.

Les photographies se regardent parfois deux par deux, trois par trois ou seule.
La lecture d’un dyptique ou d’un triptyque multiplie les possibilités de sens de l’image en nous révélant nos pensées immédiates, je n’ai rien dit, qu’avez-vous pensé ?

Il s’agit d’un premier volet (automne - hiver) Comme un cycle perpétuel, c’est une vision d’ensemble constitué d’instants uniques.
Un deuxième volet est en préparation, printemps – été, avec toujours comme question, l’homme en lui-même.

http://www.leflac.fr/noms/53/lucja_ramotowski_brunet